Un masque qui fleurit
Protéger puis fleurir. C'est ce que propose l'entreprise de Marie Bee Bloom, jeune graphiste aux Pays-Bas, en remplaçant les masques de protections polluants par des masques ensemencés.
Je m'abonneMarie Bee Bloom a eu l'idée, suite à la grande pollution que représente les masques chirurgicaux quant à leurs composants et à leur usage unique, de faire en sorte que se protéger ne rime pas avec polluer.
Fabriqués en feuille de riz et parsemés de graines de fleurs, dans des ateliers néerlandais, les masques de Marie Bee Bloom ne présentent aucun risque pour l'environnement. En revanche, ils n'ont pas été testés en termes de protection face au virus de la Covid-19.